Je te lis derrière les fenêtres de l’aurore
comme un sage dit-on
qui s’est traduit en beauté, espoir, lumière étonnante.
Je ne possède guère la vérité
mais je voudrais m’octroyer
des centuries de tes éternités
car ta bonté, ta sagesse, ta beauté
me comblent.
Mais, mais, contradictoirement,
j’en veux davantage :
je suis devenu convoiteur de toi
et seulement de toi… de toi…
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