Nous, qui nous croyons fermes, éternels, solides,
nous deux qui nous baladions sous les arcs soyeux,
nous nagions jusqu’à l’orgueil aveugle
et jusqu’à la loi des palais aperçus dans l’ombre.
Et puis, je monte
vers tes lèvres
Car ma soif de toi ne s’épuise jamais, ormai, nunca…
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